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Date Lieu Objet Thème Lien
19/07/1965   Gamou Tivaouane   Cérémonie Officielle Discours Président Senghor lien sur youtube
1965  Diourbel  Conférence Thème : islam et le monde
Date  Lieu Objet Thème Lien
26/05/1963 Champs des courses Conférence l'Islam et le socialisme  
01/08/1963 Tivaouane Gamou  
26/05/1963 Dakar champs de courses  Conférence    El hadji Malick SY ou la naissance d'une philosophie religieuse
23/08/1961 Tivaouane Gamou    
04/02/1961 Thiès Place de France Gamou Commémoration de la naissance du Prophète PSL Lien Youtube

Serigne Cheikh présente sa lettre de créance en tant qu'ambassadeur le 13 avril 1961.Selon le témoignage de Serigne Cheikh, le président Houphouet Boighy était convaincu que cette nomination cachait des intrigues politiciennes pas du tout catholiques .C’est ainsi que Serigne Cheikh fut accusé de mauvaise gestion ou plutôt de détournement sans preuve aucune… mais à qui profitait cette accusation gratuite ?Nommé ambassadeur au Caire, Serigne Cheikh se rend compte que le Sénégal n’avait même pas de locaux, il était obligé de payer des charges locatives … Est-ce acceptable pour pays comme le Sénégal dans un pays comme l’Égypte ? Pour la dignité du Sénégal, Serigne Cheikh achète des locaux au Garden City, non pas pour son compte personnel, mais pour le compte de son pays. Quoi de plus normal ?En plus, Serigne a trouvé en Égypte des ressortissants sénégalais qui étaient dans des conditions tellement misérables qu’ils n’avaient plus la tête aux études. Quoi de plus normal que de soutenir ces compatriotes pour améliorer leurs conditions d’études. La vérité est que Serigne qui a été financièrement soutenu par le Général de Gaulle n’était aucunement dans le besoin pour utiliser pour son compte personnel des fonds qui ne lui appartiennent pas. Nous verrons ci-après que l’accusation de détournement était un astuce pour tromper les religieux non avertis

 

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25/09/1958 Tivaouane Gamou    
24/05/1958 Saint Louis Gamou    
13/09/1958 Thiès Cinéma Aiglon Conférence L'islam devant les pensées universelles  

Référendum de 1958
Le 17 septembre 1958, le quotidien Dakar Matin publie à la une de son journal cette déclaration de Serigne Cheikh :« Je suis en faveur d’un vote positif, car j’estime que dans les circonstances actuelles, l’intérêt de mon pays est de demeurer dans le cadre d’une communauté franco-africaine et non dans la voie aventureuse d’une indépendance précoce. » Trois jours plus tard, l’UPS publie sa décision de voter « OUI ».Le 28 septembre 1958, le référendum se tint, et le « OUI » l’emporte sur le « NON ». En vérité, Serigne Cheikh n’avait aucune confiance à l’élite africaine pour gérer les destinées de nos pays… Si l’on considère la position actuelle de la France à l’égard de ses anciennes colonies, on ne peut que lui donner raison.

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16/10/1956 Tivaouane Gamou  
08/07/1956 Thiès au cinéma Rex Conférence Thème : La religion et l'humanité

Les guérisons oniriques ne constituent pas une catégorie spécifique des classifications des rêves des savants musulmans. Cependant, les thèmes fondamentaux qui forgent ces événements – l’apparition de symboles spirituels, les présences démoniaques – sont fermement liés aux critères canoniques de l’étiologie islamique du songe. Bien que l’on trouve des variantes en ce qui concerne les classifications des rêves en islam, ces dernières présentent souvent le trait commun d’être ordonnées selon un principe hiérarchique, dont le but est de discriminer le rêve sain des songes ordinaires.la structure de la personnalité, l’origine des rêves, des pensées et de la pathologie psychique se situent dans un espace psychique vertical qui reflète la hiérarchie du macrocosme.

A Tivaouane, lorsqu’on assiste à ce qu’il est désormais convenu d’appeler les « chants religieux », on n’est loin de s’imaginer l’effort de recherche littéraire derrière ce foisonnement des odes psalmodiés dans l’enceinte de la ville sainte ou dans les nombreux foyers de la Tijaniyya où Cheikh El Hadji Malick Sy envoya ses brillants Muqaddams.

Par Grégory Vandamme
Qu’est-ce qu’un cheikh ? Cette question, des centaines de maîtres du Soufisme y ont répondu à leur manière, chacun selon son approche et son contexte propres. Aujourd’hui, alors que la plupart des organisations initiatiques traditionnelles du Soufisme se retrouvent projetées dans un contexte globalisé, et qu’elles tentent chacune à sa façon de maintenir le contact avec une communauté toujours plus étendue, plus diffuse, et plus variée, la question de la pédagogie spirituelle et de ses moyens semble plus que jamais cruciale. Dans ces conditions, il n’est certainement pas superflu de proposer une définition de la qualité de cheikh qui fasse droit à la réalité actuelle des voies initiatiques, confrontées à une quantité et à une variété de profils et de situations toujours plus grandes.

« Nous t'avons envoyé (ô Mohammed) avec la vérité, comme annonciateur et avertisseur…S’ils (les incrédules) te traitent d’imposteur, ceux qui vécurent avant eux ont crié au mensonge quand leurs Prophètes, vinrent à eux avec des preuves évidentes, les Ecritures et le Livre Lumineux. » (Coran 35. 24. 25).
« Ô gens du Livre ! Notre Messager (Mohammed), est venu pour vous instruire sur la cessation des Messagers (de Dieu), afin que vous ne puissiez pas dire : « Il ne nous est venu ni Annonciateur ni Avertisseur. » Voilà (maintenant) qu’un Annonciateur et un Avertisseur est venu à vous. Et Allah est Omnipotent. » (Coran. 5. 19)
C'est en l'an 570 de l'ère chrétienne, le lundi 12ème jour du mois de Rabi' el Aouel que naquit à La Mecque, Mohammed, le futur Prophète de l'Islam, que le Salut et la Bénédiction de Dieu soit sur lui, qui est connu, notamment dans la langue française sous le nom de Mahomet. La déformation de son nom, constitue la première des nombreuses altérations, qui allaient marquer l'histoire de l'Islam et de son Messager. De fait, alors qu'en Arabe, langue dans laquelle a été révélé le Coran, Mohammed signifie « Le loué, le béni, ou le digne de louanges », les Occidentaux allaient corrompre ce nom et le transformer en Mahomet (ma hommid) signifiant exactement le contraire (celui qui n'est pas béni) ou encore en « Mahound », prince des ténèbres, autre nom de Satan.

« Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret) a été interrogé au sujet du sens de la parole d’Allah le Très-Haut : « Allah vous met en garde à l’égard de Lui-même. » (Sourate 03 la famille d’Imran, verset 28) Il a répondu (qu’Allah sanctifie son précieux secret) : « Au niveau de la Loi (Chari’a) cela veut dire Allah vous met en garde à l’égard de Lui-même afin de le craindre et de ne pas se croire à l’abri de Sa ruse en tout ce qu’Il vous octroie comme faveurs et en tout ce dont Il vous préserve comme nuisance parmi les méfaits,

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