Ja'far as-Sâdiq |
Abû `Abdillâh Ja`far bin Muhammad al Sâdiq1 (arabe : أبو عبد الله جعفر بن محمد الصادق), né le 17 Rabi’ al-Awwal 83 AH / 20 avril 702 à Médine, et mort le 25 Chawal 148 AH / 14 décembre 765 dans la même ville, aussi connu sous le nom de Jafar al-Sadiq ou simplement as-Sadiq (le véridique), est le sixième imam pour les chiites duodécimains et le cinquième pour les ismaéliens, ainsi qu'une figure majeure dans les madahib hanafites et malikites de jurisprudence sunnite2. Il était un descendant du premier imam et quatrième calife bien guidé Ali du côté de son père,
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Jalâl |
Al-Jalâl (La Majesté) : Ce sont les aspects contraignants (qahr) de la présence divine.
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Jamâl |
Al-Jamâl (La Beauté) : Ce sont les aspects de miséricorde et de douceur de la présence divine.
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Jannah | Janna est un des termes « généralement utilisés pour désigner le paradis dans le Coran ». Dans le Coran, la notion de paradis peut évoquer le paradis originel dans lequel vivait Adam, dans une conception très proche de celle du Livre de la Genèse, mais aussi des jardins dans lesquels vont les croyants après leur mort. | ||
Jawahir al-ma'ani |
En résumé, ce livre est un véritable chef-d'oeuvre que ce soit du point de vue des enseignements qu'il véhicule, ou du point de vue de la manière fidèle, précise et vulgarisée par laquelle il a été traduit. C'est un document indispensable pour toute personne en quête de vérité et de transcendance. Auteur : Sidi Ali Harazem Ibn Larbi Berrada Fassi |
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Jean Paul Sarte |
Jean-Paul Charles Aymard Sartre, né le 21 juin 1905 dans le 16e arrondissement de Paris et mort le 15 avril 1980 dans le 14e arrondissement, est un écrivain et philosophe français, représentant du courant existentialiste, dont l'œuvre et la personnalité ont marqué la vie intellectuelle et politique de la France de 1945 à la fin des années 1970. Écrivain prolifique, fondateur et directeur de la revue Les Temps modernes (1945), il est connu aussi bien pour son œuvre philosophique et littéraire qu'en raison de ses engagements politiques, d'abord en liaison avec le Parti communiste, puis avec des courants gauchistes, au sens léniniste2 du terme, plus particulièrement maoïstes, dans les années 1970. |
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Joseph Mbaye | Joseph Mbaye (1911-1997), instituteur et homme politique sénégalais, est un ancien ministre – avant et après l'indépendance – qui partagea le sort de Mamadou Dia lors de la crise politique de décembre 1962 qui opposa celui-ci au président Senghor. | ||
ibn al muqaffa |
Abdallah Ibn al-Muqaffa est un secrétaire de l'administration omeyyade puis abbasside, célèbre littérateur perse et premier grand prosateur de langue arabe. Il naît vers 720 à Gour, dans le Fars. Il se convertit à l'islam à l'âge adulte et meurt à 36 ans, en 756 à Basra, exécuté sur l'ordre du calife Al-Mansour.
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Ibrahima Baba KAKÉ |
Guinéen, professeur agrégé d'Histoire, enseigne aujourd'hui à Paris. Producteur de l'émission Mémoire d'un continent à RFI. Directeur de collection aux Nouvelles Editions Africaines. Il a écrit de très nombreux ouvrages sur l'histoire de l'Afrique noire. Il a assisté en Guinée même à l'ascension de Sékou Touré jusqu'en 1958. Par la suite, en exil, il n'a jamais cessé de suivre au jour le jour le parcours de Sékou Touré. (Cité Par SCATSY Dans Dounyal Mouslim) |
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identés culturelles africaines |
Dans cet extrait tiré de la philosophie des interdits Serigne Cheikh pose le problème identitaire des musulmans sénégalais . Pourquoi il y t-il des références culturelles arabes dans le Coran? , pourquoi les musulmans sénégalais ont des noms arabes au lieu des noms africains? etc. |
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Ibn Arabi |
Né en 1165 à Murcie (en Al-Andalus) et mort en novembre 1240 à Damas, Ibn Arabî est un théologien et un maître soufi arabe, déployant une pensée extrêmement complexe et fascinante. |
lien article | |
Ilm al-yaqîn |
‘Ilm al-yaqîn (La Science de la Certitude) : C’est ce qu’engendre tout ce qui est d’ordre argumentaire.
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Imâmân | Al-Imâmân (Les deux Imâms29) : Ce sont deux personnes dont l’un se trouve à la droite du Sauveur (le Pôle) et son regard est tourné vers le monde de la Royauté30. L’autre se tient à la gauche du sauveur et son regard est tourné vers ce bas monde (al-mulk) ; Il possède une station plus élevée que son compagnon, c’est lui qui remplace le Pôle (à sa mort). |
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Imrû'l-Qays Ibn H'ujr, |
Imrou'l Qays, de son nom complet Imrou'l Qays Ibn Hujr Ibn al-Hârith al-Kindî est un poète arabe préislamique de la tribu de Kinda, surnommé "le Roi Errant" ou encore Dhû l-Qurûh, "l'Homme aux ulcères". Il est probablement né dans le Nejd au début du VIᵉ siècle, et mort aux environs de 550 près d'Ancyre.
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Irâdah |
(La Volonté) |
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Islam |
L'islam est une religion abrahamique s'appuyant sur le dogme du monothéisme absolu et prenant sa source dans le Coran, considéré comme le réceptacle de la parole de Dieu révélée, au VIIᵉ siècle en Arabie, à Mahomet, proclamé par les adhérents de l'islam comme étant le dernier prophète de Dieu.
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Issa Ibn Mariam | ʿĪsā ou 'Isa ibn Maryam, à distinguer du nom Yasu' ibn Maryam qui est le nom plutôt employé par les chrétiens arabes, est le nom coranique de Jésus de Nazareth, considéré par l'islam comme l'avant-dernier prophète d'Allah et comme le Messie | ||
«Guerre» et «paix» sont deux notions antinomiques comme le mouvement et le repos: il n’y a pas de guerre paisible, comme il n’y a pas de paix conflictuelle. Nous ne pouvons pas les traiter comme un “oxymore”, bien que les mystiques aient été friands de cette figure de style qu’ils maniaient avec brio dans la poésie comme dans les oeuvres de systématisation doctrinale. Le passage d’une situation à l’autre se fait en fonction des conditions objectives et des conjonctures.
Hadi Mouhammad Abdourahmane |
Ami et contemporain de Serigne Babacar SY
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Hady Touré (Serigne) |
Serigne Hady Touré fait partie des plus grands savants que compte le Sénégal. Il est né en 1894 à Fass Touré, village fondé par son père Cissa Touré qui était aussi un disciple du Maître Seydi Hadji Malick.Serigne Hady Touré est originaire du Mbackol, il étudia l’ensemble des sciences islamiques auprès de son père qui l’envoya ensuite en 1911 dans la cour du Maître Seydi Hadji Malick Sy. Serigne Hady Touré a fait sa formation à Tivaouane à la même période que Le Maître Serigne Mansour Sy Balkhawmi, El Hadji Thierno Seydou Nourou Tall et Cheikh N’Diaye Mabeey le fils du célèbre savant de Saint Louis Ahmad N’Diaye Maabey. |
lien article sur Serigne Hady | |
Hâl |
Al-Hâl (l’Etat Spirituel)C’est ce qui survient sur le coeur sans effort ni recherche. Parmi ses conditions, qu’il s’efface et laisse place { un état similaire et ainsi de suite jusqu’{ ce qu’il devienne pur. Si rien de similaire ne lui fait suite, c’est la divergence qui se fait jour. Ceux qui voient les états se succéder sans interruption parlent de permanence de l’état, ceux qui ne voient pas d’état similaire parlent de rupture de continuité. On dit également que l’état est la variation des attributs de l’homme. |
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hamziyya |
Il s'agit d'un panégyrique, mais comme la plupart des pièces du genre, il se construit sur un récit biographique, plus ou moins ordonné, reprenant des passages notoires de la vie du Prophète.
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Haqîqah |
Al-Haqîqah (La Vérité Principielle) :
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Haqq |
Haqq est le mot arabe pour vérité. Dans les contextes islamiques, il est également interprété comme droit et réalité. Al-Haqq, «la vérité, est l'un des noms de Dieu dans le Coran. Il est souvent utilisé pour désigner Dieu comme la réalité ultime de l'islam.
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Haqq al-yaqîn |
Haqq al-yaqîn (La Vérité de la Certitude) :C’est la science qui nous parvient de la part et comme le souhaite le contemplé.
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Hâroun ar-Rachîd |
Hâroun ar-Rachîd ben Muhammad ben al-Mansûr également connu sous son nom de règne Hārūn ar-Rašīd, né en 765 à Ray et mort à Tûs en 809, est le cinquième calife abbasside qui succède à son frère al-Hâdî en 786 et règne jusqu'à sa mort en 809.
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Hassân ibn Thâbit |
H̩assān ibn T̠ābit est né à Médine entre 555 et 560, au sein de la tribu des Banu Khazraj. Il a voyagé dans sa jeunesse en Syrie, à Al-Hira et à Damas. En Syrie, il parvient à se faire admettre dans la cour des Lakhmides et des Ghassanides. Il est ensuite revenu à Médine au temps de l'hégire où il se convertit à l'islam à l'âge de 60 ans en 622. Mahomet l'ayant choisi comme poète, H̩assān ibn T̠ābit devait dans cette fonction, défendre l'islam contre les idolâtres. Il participait souvent à des concours de poésie et, d'après la tradition, il est parvenu à convertir une tribu entière, les Banu Tamim en sortant vainqueur d'une joute poétique. Il meurt au début du règne de Muʿawiya en 660.
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Haybah |
Al-Haybah (La Révérence36) :
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Himmah |
Al-Himmah (L’Aspiration Spirituelle) :
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Houbal |
Divinité principale du panthéon arabe, Houbal était connu sous le nom de « Seigneur de la Ka'ba ». Il était probablement le père de la Triade des déesses Allât, Al-'Uzzâ et Manât, les Filles de Houbal. En dehors de l'Arabie du sud, son nom apparaît seulement dans une inscription nabatéenne où il est associé à deux autres divinités, Dhu-al-Sharâ (Dusarès ; en arabe : ذو الشّرى et Manawatu (en arabe : مناة-مناواتو, équivalent arabe nabatéen de Manât). |
Gabriel D'arboussier | Gabriel, marquis d'Arboussier, est un homme politique français et sénégalais. Il est né le 14 janvier 1908 à Djenné au Soudan français et décédé le 21 décembre 1976 à Genève en Suisse | ||
Gamal abdel Nasser | Gamal Abdel Nasser, né le 15 janvier 1918 à Alexandrie et mort le 28 septembre 1970 au Caire, est un homme d'État égyptien. Il fut le second président de la République de 1956 à sa mort. Après une carrière militaire, il organisa en 1952 le renversement de la monarchie et accéda au pouvoir | ||
ghayb |
Al-Ghaib est une expression arabe utilisée pour exprimer que quelque chose est caché. C'est un concept important dans l'Islam, englobant non seulement le royaume du divin, y compris les anges, le paradis et l'enfer, mais aussi les événements futurs, que seul Dieu connaît.
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Ghazali |
Abu Hamid Muhammad al-Ghazali al-Tusi al-Nisaburi est connu en Occident sous le nom d'Algazel. Philosophe, théologien, logicien, juriste et mystique musulman d'origine perse, il est une figure majeure de la pensée musulmane
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Gibran Khalil |
Gibran Khalil Gibran (prononcé en français : [ʒi.bʁɑ̃ ka.lil ʒi.bʁɑ̃], en arabe : جبران خليل جبران (Jubrān H̱alīl Jubrān)), né le 6 janvier 1883 à Bcharré (dans la moutassarifat du Mont-Liban) et mort le 10 avril 1931 à New York, est un poète libanais d'expression arabe et anglaise (il parlait aussi couramment le français, d'après Alma Reed (en) Alma Reed (es)1), et un artiste peintre. Il séjourna en Europe et passa la majeure partie de sa vie aux États-Unis.
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Griot ou guéweul (wolof) |
Le griot, aussi appelé barde, est une personne spécialisée dans la louange et la déclamation des récits historiques qui font la part belle aux héros fondateurs et au merveilleux en Afrique de l'Ouest. Les griots forment en général un groupe endogame |
lien vidéo sur griots | |
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Fa Ilayka | Poème conçu en Nûniyya par l’éminent homonyme d’Ahmad At Tijânî Serigne Cheikh Ahmed Tidiane Sy Al Maktoum. |
lien du poème traduit par traduit par Cheikh Tidiane Fall de Saint-Louis |
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Fanâ | Al-Fanâ’ (l’Extinction): C’est la vision qu’à l’homme de sa faiblesse au regard de l’autorité divine sur chaque chose48. |
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Farq |
Al-Farq (La Séparation) :
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fitra | Fitra est un terme arabe qui fait référence à la nature originelle de l'être humain selon l'islam. La fitra serait « L’attitude naturelle par laquelle nous irions vers Dieu » ou "instinct". En d'autres termes, il y aurait quelque chose en nous qui nous attirerait vers le transcendant | ||
Troisième fils d’El Hadj Malick Sy, Serigne Mansour vit le jour en 1900 à Tivaouane. Très tôt, son intelligence, sa capacité de discernement et sa maturité révélèrent sa très grande envergure. C’est ainsi que son frère ainé, le Calif Khalifa Ababacar Sy l’envoya à la Mecque, pour prier le bon Dieu de mettre fin à la deuxième guerre mondiale. Doté d’une vaste culture, il se fit un point d’honneur de présidMais le destin, hélas insondable, n’a pas permis aux nombreux talibés Tidjanes de s’abreuver à cette source intarissable que fut Serigne Mansour Sy Malick « Bal Khawmi ». Il disparut en effet le 29 mars 1957, soit quatre jours après le rappel à Dieu de son frère Serigne Babacar Sy. D’aucuns crurent alors que la Tarikha allait connaitre une longue période de léthargie.
Il était modeste. Il était discret. Il était effacé ou plutôt il savait s’effacer devant ses frères ainés. C’était sa façon à lui d’assumer l’héritage de son père et de renforcer l’esprit d’équipe et de famille si nécessaire à l’unité de Tivaouane. Ses apparitions furent plutôt rares puisqu’il choisit de vivre souvent à l’extérieur et de conserver l’essentiel de son temps à prêcher la bonne parole et la terre.