Ma Falaly Diop (taximan) |
Taximan qui avait l'habitude de conduire Serigne Cheikh.
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ma’ruf al-karkhi |
Maruf est né dans le district de Wasit ou Karkh à Bagdad . Le nom de son père était Firuz, ce qui suggère qu'il était d' origine persane . [2] Attar raconte dans son Mémorial des Saints que Maruf s'est converti à l' Islam à un jeune âge aux mains d' Ali ibn Musa , après avoir rejeté toutes les formes de polythéisme . La tradition raconte qu'il alla aussitôt le dire à son père et à sa mère, qui se réjouirent de sa décision et devinrent eux-mêmes musulmans. Après avoir accepté l'Islam, Maruf est devenu un étudiant de Dawud Ta'i et a subi une épreuve sévère de son statut de disciple. Maruf, cependant, est resté inébranlable et s'est montré si dévot que sa droiture est devenue célèbre localement.
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Maba Diakhou BA |
Maba Diakhou Bâ, né en 1809 et mort en juillet 1867, est un marabout du Rip et membre de la confrérie Tijaniyya, devenu almamy du Rip.
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Makân |
Al-Makân (L’Endroit) :Cette expression désigne une demeure sur le tapis (al-bisât) qui ne convient qu’aux gens parfaits, ceux qui ont réalisé les stations et les états spirituels et les ont dépassés pour se fixer au-delà de la Majesté et de la Beauté32. Ils n’ont ni attribut ni genre les qualifiant.
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makazil fouhoumi wal maani |
Le centre des connaissances et des compréhension cité dans le "Jawharatul Kamal", dite la perle de la perfection. La prière "Jawharatul Kamal" est une des composantes de la "wazifa" au cours de laquelle, juste après la formule de l’unicité de Dieu (lâ illâha illâ-l-lâh) elle est récitée 12 fois (qui peuvent être remplacées par 20 salatul fatihi).
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Al-Mâlamatiyah |
Ce sont ceux dont les états intérieurs n’apparaissent pas à l’extérieur. C’est la catégorie d’initié la plus haute, leurs disciples évoluent dans les différentes sphères de l’initiation effective. |
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al makhadir |
al mkhadir les grand destins de la race humaine consignés dans un livre "Imam"
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Malik Ibn Anass |
Mālik ibn Anas, de son nom complet Abū ʿAbd Allāh Mālik ibn Anas ibn Mālik ibn Abī ʿĀmir ibn ʿAmr ibn al-Ḥārithb Ghaymān ibn Khuthayn ibn ʿAmr ibn al-Ḥārithal-Aṣbaḥī est un imam, théologien et juriste arabo-musulman, traditionaliste, né entre 708 et 716 et mort en 796
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Mamadou Diop | Le colonel Mamadou Diop, né le 9 mai 1936 et mort le 26 mars 2018 à Dakar au Sénégal, est un officier supérieur, homme politique sénégalais, et ancien maire de Dakar. Il a été ministre des présidents Léopold Sedar Senghor et Abdou Diouf | ||
Mame Mor Khoudia Sy
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Mame Mor Khoudia Sy est un homme de Dieu , fils de Serigne Ahmadou Sy qui est lui-même fils de Mouâz ou Demba Bouna l’ancêtre du Maître Seydi Hadji Malick Sy, sa mère s’appelait Mame Khoudia Sylla. Il est originaire du Sine au Jolof. La Sisila (Chaîne de transmission) de Serigne Ahmadou Sy père de Mame Mor Khoudia Sy peut remonter jusqu’au Saint Yakhiya Al Khalkhami, Idriss Al Askhad, et le Sheikh Ahmed Tijani ce qui confirme la lignée Chérifienne de Mame Mor Khoudia Sy. |
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Mamour Ndari BA |
Frère de Maba Diakhou Ba . A fait ses études coranique à Saint Louis ou d'ou le nom de ndari.
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Manât |
Manat (مَنَاتُ prononcé en arabe : /mæˈnæːt/)1 ou Manāh (مَنَاةٌ prononcé en arabe : /mæˈnæː(h)/) était une déesse du destin, vénérée en Arabie à l'époque pré-islamique. Manat est mentionnée dans le Coran (sourate LIII (53) An-Najm ou l'Etoile, versets 19-22) avec les deux autres grandes déesses Allat et Uzza :
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Mansour SY (Serigne) | Serigne Mouhamadoul Mansour Sy Borom Daara Ji, né le 15 août 1925 à Tivaouane et décédé le 9 décembre 2012 à Paris à l'âge de 87 ans, est un religieux musulman sénégalais, ancien khalife général de la confrérie Tidjane du Sénégal. | ||
Maqâm |
Al-Maqâm (La Station Spirituelle):Cela désigne le fait de s’acquitter totalement des droits prescrits par la Loi sacrée.
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mémoire | |||
Mohammed Amin al-Husseini |
Mohammed Amin al-Husseini, également connu sous le nom d’Hadj Amin al-Husseini ou encore sous son titre de grand mufti de Jérusalem, est un chef religieux, nationaliste et homme politique palestinien, né le 4 juillet 1895 à Jérusalem et mort le 5 juillet 1974 à Beyrouth. |
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Mouhamed PSL |
Mohamed, Muhammad ou Mohammed est le dernier des prophètes et le messager de Dieu à l'humanité avec la dernière des religions monothéistes, l'Islam. Son plus grand miracle est le Coran, le livre saint de la religion musulmane. Et c'est d'après les actes et paroles du prophète (SWS) que les musulmans tiennent la Sunna Nabawiya. |
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Mouharrabin | |||
Mounirou Sarr (Serigne) | Son pere El hadji Malick Sarr fut le premier talibé de Seydi Hadji Malick Sy et sa mère sokhna Fatsy Boudi est la fille ainée de El Haji Halick, c'est son grand père El hadji Malick Sy qui l'a baptisé et lui a donné la idiaza et le wird le jour de son baptême | ||
muslim |
Muslim ibn al-Ḥajjāj (de son nom complet : Abû al-Husayn Muslim ibn al-Hajjaj al-Quchayri an-Nisaburi), également appelé Muslim ou l'imam Muslim, né à Nichapur (Iran) vers 8211et mort dans la même ville le 6 mai 8752 (abū al-ḥusayn muslim ben al-ḥajjāj al-qušayrī an-nīšābūrī, أبو الحسين مسلم بن الحجاج القشيري النيسابوري), est un auteur, muhaddith et érudit musulman arabe. Il est l'auteur du second des deux recueils de hadiths les plus sûrs de l'islam sunnite (après le Sahîh d'Al-Bukhârî), appelé L'abrégé de l'authentique de Muslim, ou, plus fréquemment, Sahîh Muslim. Il voyage en Irak, dans la Péninsule arabique, en Égypte, en Syrie. Au cours de ses voyages, il recueille les traditions qui lui semblent les plus valables. Avec l'un de ses maîtres, Mouhammad al-Boukhârî, et Ibn Qayyim al-Jawziyya, il est considéré comme une référence dans le sunnisme et dans la science du hadith.
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Moussa Niang (Serigne) |
Imam Moussa Niang Iman de Tivaoaune dans les années 30 à 50
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Moustapha SY Djamil (Serigne) |
L'on raconte que lors de son baptême, son doigt a accroché le chapelet de Cheikh Seydi El Hadji Malick SY (Radiya Laahou Ta'ala Anhou). Ce dernier s'est penché vers son grand-père Mame Malick SALL pour lui dire: "il ne veut pas lâcher mon chapelet". Mame Malick Sall sourit et lui répond: "donnez lui ce qu'il réclame, Maodo Malick !" Maodo Malick posa sur lui un regard plein de douceur et d'admiration et dit : "Ha'zaa houwa!" (3 fois) : "C'est lui!" ou "le voici". Puis il ajouta: "Dieu m'a accordé tout ce que je désirais sauf une chose..." Mame Malick SALL, intrigué, de s'enquérir: "le bon Dieu reste-t-il te devoir quelque chose à toi Maodo Malick ?" Maodo Malick, la voix pleine de regrets de répondre: "je voudrais tellement être le Témoin de son temps, mais je sais que cela Dieu ne me l'accordera pas!". Son père Cheickhal Khalifa Ababacar SY dira de lui : "Moustapha est le domaine réservé de Dieu; nous en avons seulement la garde".
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Moustapha SY Al Maktoum (Serigne) |
Mardi 10 juin 1952 marque la naissance de Serigne Moustapha Sy « Al Maktum », un homme du grand destin. Un homme où sa naissance fut la fête des hommes de Dieu. A bas âge, son vénéré Grand père lui demanda quand porteras-tu mon drapeau ?Dans sa toute jeunesse, il fut intéressé par la connaissance et par les discours de Mame Cheikh Ahmad Tidiane Sy Almakhtoum.Serigne Moustaph Sy, un homme fidèle, un surdoué aux enseignement de son père Mame Cheikh Ahmad Tidiane Sy Al Maktum. Serigne Cheikh Ahmed Tidiane Sy Al Makhtoum est son père. Sa mère, Sokhna Safiètou Dème est la fille de Serigne Amadou Dème de Sokone, auteur de « Dyahou Narirayni », l’impressionnante exégèse du Coran à laquelle s’accrochait l’Égypte en raison de la haute pertinence et de l’unicité de son contenu. Par celle-ci comme par celui-là, ce responsable moral du très complexe et dynamique Dahiratoul Moustarchidina Wal Moustarchidaty fondé en 1979, sur les applaudissements du prophète, par la joie de son grand Père Serigne Babacar Sy et par le cachet de son père, s’impose comme le fruit naturel de la spiritualité, c'est ce qui a suscité la déclaration de son marabout « Moustaph, vous êtes le patron ». |
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Muchâhadah |
L’Acte Contemplatif) :C’est ce qui se rapporte à la faculté de voir toute chose à la lumière du Tawhîd (de la métaphysique). C’est aussi la faculté de voir Dieu en toute chose et enfin, c’est aussi, la certitude la plus profonde qui ne laisse place à aucun doute83.
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Muhâdathah | Al-Muhâdathah (L’Entretien Divin) :C’est le discours que Dieu adresse aux connaissants dans le monde d’ici-bas (‘alâm al-mulk wa ach-chahâdah), comme l’appel du Buisson ardent lancé à Moïse. | ||
Mujâhadah |
Al-mujâhadah ou l'effort en vue d'une meilleure conduite:
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Mukâchafah |
Al-Mukâchafah (L’Acte du Dévoilement Intuitif) :C’est la réalisation du dépôt divin par la contrainte, c’est aussi la réalisation du surcroît que procure l’état (de la réalisation effective en ce monde de la nature du dépôt). C’est enfin, la faculté de réellement comprendre les indications allusives.
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mukjizat | Miracles | ||