Nâbigha al-Dhubyânî, |
Al-Nābiġa al-D̠ubyānī est issu de la tribu des Banu Dhubyan, il a vécu près de La Mecque. Il a d'abord été poète de tribu, avant d'entrer à la cour du roi Lakhmide Al-Nu'man Abu Qabus, que Dubyani pleurera dans une élégie devenue célèbre. À cause de quelques vers sur la reine jugés insultants, il est obligé de quitter le royaume avant d'y revenir en 600. Il entre alors dans la cour des Ghassanides où il mène une vie fastueuse.La date de sa mort est incertaine, mais il semble qu'il ignorait ce qu'était l'islam. Ses poésies sont en grande partie des éloges et des satires sur les Ghassanides, les Banu Abs et les Banu Dhubyan. |
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nafs |
Le nafs signifie l'âme et la vie tout comme l'envie et tous les mauvais désirs sans valeur du corps. Le nafs est un mot utilisé plutôt dans la tradition islamique pour mettre l'accent sur les mauvais sentiments et les désirs non légitimes chez l'homme. Donc la lutte contre le nafs est un auto-questionnement et a une importance vitale pour le Musulman.Selon le Coran, le nafs est ouvert aux suspicions du diable et cause également des suspicions qui incitent l'homme à se faire du mal. “Nous avons effectivement créé l'homme et Nous savons ce que son âme lui suggère et Nous sommes plus près de lui que sa veine jugulaire”, “Et si une femme craint de son mari abandon ou indifférence, alors ce n'est pas un péché pour les deux s'ils se réconcilient par un compromis quelconque, et la réconciliation est meilleure, puisque les âmes sont portées à la ladrerie. Mais si vous agissez en bien et vous êtes pieux... Allah est, certes, Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites”, et “Je ne m'innocente cependant pas, car l'âme est très incitatrice au mal, à moins que mon Seigneur, par miséricorde, [ne la préserve du péché]. Mon Seigneur est certes Pardonneur et très Miséricordieux" |
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Najd arabie saoudite |
Le Nejd, Nedjed, ou Najd (en arabe : نجد), est la région centrale de l'Arabie saoudite. Étymologiquement, najd signifie « haut plateau » en arabe.
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Nawamis |
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Ngalandou Diouf |
Né en 1875 à Saint-Louis (Ndar) d'une famille musulmane[réf. nécessaire] (d'un père sérère de la famille Diouf, et d'une mère wolof), Galandou Diouf suit une scolarité dans une structure catholique et entreprend une carrière d'enseignant puis d'employé. En 1909, il est le premier élu africain depuis le début de la colonisation, il représente la commune de Rufisque (Teunggèdj) au Conseil général de Saint-Louis, alors capitale du Sénégal. Il est élu député du Sénégal en 1934 (fin en 1941). Il est alors soutenu par une coalition comprenant les Mourides, les cultivateurs et les anciens combattants. Il devient maire de Rufisque en 1919. Défenseur de l'égalité africaine et opposant à la discrimination, il collabora au journal La Démocratie. Fondateur du journal Le Sénégal et parrain de Blaise Diagne, il fut vite supplanté par celui-ci puis continua néanmoins à collaborer avec lui et le soutint jusqu'en 1928. À la mort du député en 1934, Ngalandou Diouf est élu au Palais-Bourbon. Le 10 juillet 1940, il était absent lors du vote des pleins pouvoirs à Pétain. Il embarqua en effet à bord du Massilia, qui devait transporter les parlementaires en vue de constituer un gouvernement de résistance à Casablanca. À bord du Massilia se trouvaient des dizaines d'autres parlementaires, dont Georges Mandel, Jean Zay ou Pierre Mendès-France. Galandou Diouf décède en 1941 à Cannes. |
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Nuqabâ | Al-Nuqabâ’ (Les Lieutenants27) : Ce sont ceux qui extraient les écorces des âmes, ils sont au nombre de trois cent28 |
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Ma Falaly Diop (taximan) |
Taximan qui avait l'habitude de conduire Serigne Cheikh.
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ma’ruf al-karkhi |
Maruf est né dans le district de Wasit ou Karkh à Bagdad . Le nom de son père était Firuz, ce qui suggère qu'il était d' origine persane . [2] Attar raconte dans son Mémorial des Saints que Maruf s'est converti à l' Islam à un jeune âge aux mains d' Ali ibn Musa , après avoir rejeté toutes les formes de polythéisme . La tradition raconte qu'il alla aussitôt le dire à son père et à sa mère, qui se réjouirent de sa décision et devinrent eux-mêmes musulmans. Après avoir accepté l'Islam, Maruf est devenu un étudiant de Dawud Ta'i et a subi une épreuve sévère de son statut de disciple. Maruf, cependant, est resté inébranlable et s'est montré si dévot que sa droiture est devenue célèbre localement.
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Maba Diakhou BA |
Maba Diakhou Bâ, né en 1809 et mort en juillet 1867, est un marabout du Rip et membre de la confrérie Tijaniyya, devenu almamy du Rip.
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Makân |
Al-Makân (L’Endroit) :Cette expression désigne une demeure sur le tapis (al-bisât) qui ne convient qu’aux gens parfaits, ceux qui ont réalisé les stations et les états spirituels et les ont dépassés pour se fixer au-delà de la Majesté et de la Beauté32. Ils n’ont ni attribut ni genre les qualifiant.
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makazil fouhoumi wal maani |
Le centre des connaissances et des compréhension cité dans le "Jawharatul Kamal", dite la perle de la perfection. La prière "Jawharatul Kamal" est une des composantes de la "wazifa" au cours de laquelle, juste après la formule de l’unicité de Dieu (lâ illâha illâ-l-lâh) elle est récitée 12 fois (qui peuvent être remplacées par 20 salatul fatihi).
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Al-Mâlamatiyah |
Ce sont ceux dont les états intérieurs n’apparaissent pas à l’extérieur. C’est la catégorie d’initié la plus haute, leurs disciples évoluent dans les différentes sphères de l’initiation effective. |
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al makhadir |
al mkhadir les grand destins de la race humaine consignés dans un livre "Imam"
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Malik Ibn Anass |
Mālik ibn Anas, de son nom complet Abū ʿAbd Allāh Mālik ibn Anas ibn Mālik ibn Abī ʿĀmir ibn ʿAmr ibn al-Ḥārithb Ghaymān ibn Khuthayn ibn ʿAmr ibn al-Ḥārithal-Aṣbaḥī est un imam, théologien et juriste arabo-musulman, traditionaliste, né entre 708 et 716 et mort en 796
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Mamadou Diop | Le colonel Mamadou Diop, né le 9 mai 1936 et mort le 26 mars 2018 à Dakar au Sénégal, est un officier supérieur, homme politique sénégalais, et ancien maire de Dakar. Il a été ministre des présidents Léopold Sedar Senghor et Abdou Diouf | ||
Mame Mor Khoudia Sy
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Mame Mor Khoudia Sy est un homme de Dieu , fils de Serigne Ahmadou Sy qui est lui-même fils de Mouâz ou Demba Bouna l’ancêtre du Maître Seydi Hadji Malick Sy, sa mère s’appelait Mame Khoudia Sylla. Il est originaire du Sine au Jolof. La Sisila (Chaîne de transmission) de Serigne Ahmadou Sy père de Mame Mor Khoudia Sy peut remonter jusqu’au Saint Yakhiya Al Khalkhami, Idriss Al Askhad, et le Sheikh Ahmed Tijani ce qui confirme la lignée Chérifienne de Mame Mor Khoudia Sy. |
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Mamour Ndari BA |
Frère de Maba Diakhou Ba . A fait ses études coranique à Saint Louis ou d'ou le nom de ndari.
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Manât |
Manat (مَنَاتُ prononcé en arabe : /mæˈnæːt/)1 ou Manāh (مَنَاةٌ prononcé en arabe : /mæˈnæː(h)/) était une déesse du destin, vénérée en Arabie à l'époque pré-islamique. Manat est mentionnée dans le Coran (sourate LIII (53) An-Najm ou l'Etoile, versets 19-22) avec les deux autres grandes déesses Allat et Uzza :
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Mansour SY (Serigne) | Serigne Mouhamadoul Mansour Sy Borom Daara Ji, né le 15 août 1925 à Tivaouane et décédé le 9 décembre 2012 à Paris à l'âge de 87 ans, est un religieux musulman sénégalais, ancien khalife général de la confrérie Tidjane du Sénégal. | ||
Maqâm |
Al-Maqâm (La Station Spirituelle):Cela désigne le fait de s’acquitter totalement des droits prescrits par la Loi sacrée.
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mémoire | |||
Mohammed Amin al-Husseini |
Mohammed Amin al-Husseini, également connu sous le nom d’Hadj Amin al-Husseini ou encore sous son titre de grand mufti de Jérusalem, est un chef religieux, nationaliste et homme politique palestinien, né le 4 juillet 1895 à Jérusalem et mort le 5 juillet 1974 à Beyrouth. |
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Mouhamed PSL |
Mohamed, Muhammad ou Mohammed est le dernier des prophètes et le messager de Dieu à l'humanité avec la dernière des religions monothéistes, l'Islam. Son plus grand miracle est le Coran, le livre saint de la religion musulmane. Et c'est d'après les actes et paroles du prophète (SWS) que les musulmans tiennent la Sunna Nabawiya. |
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Mouharrabin | |||
Mounirou Sarr (Serigne) | Son pere El hadji Malick Sarr fut le premier talibé de Seydi Hadji Malick Sy et sa mère sokhna Fatsy Boudi est la fille ainée de El Haji Halick, c'est son grand père El hadji Malick Sy qui l'a baptisé et lui a donné la idiaza et le wird le jour de son baptême | ||
muslim |
Muslim ibn al-Ḥajjāj (de son nom complet : Abû al-Husayn Muslim ibn al-Hajjaj al-Quchayri an-Nisaburi), également appelé Muslim ou l'imam Muslim, né à Nichapur (Iran) vers 8211et mort dans la même ville le 6 mai 8752 (abū al-ḥusayn muslim ben al-ḥajjāj al-qušayrī an-nīšābūrī, أبو الحسين مسلم بن الحجاج القشيري النيسابوري), est un auteur, muhaddith et érudit musulman arabe. Il est l'auteur du second des deux recueils de hadiths les plus sûrs de l'islam sunnite (après le Sahîh d'Al-Bukhârî), appelé L'abrégé de l'authentique de Muslim, ou, plus fréquemment, Sahîh Muslim. Il voyage en Irak, dans la Péninsule arabique, en Égypte, en Syrie. Au cours de ses voyages, il recueille les traditions qui lui semblent les plus valables. Avec l'un de ses maîtres, Mouhammad al-Boukhârî, et Ibn Qayyim al-Jawziyya, il est considéré comme une référence dans le sunnisme et dans la science du hadith.
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Moussa Niang (Serigne) |
Imam Moussa Niang Iman de Tivaoaune dans les années 30 à 50
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Moustapha SY Djamil (Serigne) |
L'on raconte que lors de son baptême, son doigt a accroché le chapelet de Cheikh Seydi El Hadji Malick SY (Radiya Laahou Ta'ala Anhou). Ce dernier s'est penché vers son grand-père Mame Malick SALL pour lui dire: "il ne veut pas lâcher mon chapelet". Mame Malick Sall sourit et lui répond: "donnez lui ce qu'il réclame, Maodo Malick !" Maodo Malick posa sur lui un regard plein de douceur et d'admiration et dit : "Ha'zaa houwa!" (3 fois) : "C'est lui!" ou "le voici". Puis il ajouta: "Dieu m'a accordé tout ce que je désirais sauf une chose..." Mame Malick SALL, intrigué, de s'enquérir: "le bon Dieu reste-t-il te devoir quelque chose à toi Maodo Malick ?" Maodo Malick, la voix pleine de regrets de répondre: "je voudrais tellement être le Témoin de son temps, mais je sais que cela Dieu ne me l'accordera pas!". Son père Cheickhal Khalifa Ababacar SY dira de lui : "Moustapha est le domaine réservé de Dieu; nous en avons seulement la garde".
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Moustapha SY Al Maktoum (Serigne) |
Mardi 10 juin 1952 marque la naissance de Serigne Moustapha Sy « Al Maktum », un homme du grand destin. Un homme où sa naissance fut la fête des hommes de Dieu. A bas âge, son vénéré Grand père lui demanda quand porteras-tu mon drapeau ?Dans sa toute jeunesse, il fut intéressé par la connaissance et par les discours de Mame Cheikh Ahmad Tidiane Sy Almakhtoum.Serigne Moustaph Sy, un homme fidèle, un surdoué aux enseignement de son père Mame Cheikh Ahmad Tidiane Sy Al Maktum. Serigne Cheikh Ahmed Tidiane Sy Al Makhtoum est son père. Sa mère, Sokhna Safiètou Dème est la fille de Serigne Amadou Dème de Sokone, auteur de « Dyahou Narirayni », l’impressionnante exégèse du Coran à laquelle s’accrochait l’Égypte en raison de la haute pertinence et de l’unicité de son contenu. Par celle-ci comme par celui-là, ce responsable moral du très complexe et dynamique Dahiratoul Moustarchidina Wal Moustarchidaty fondé en 1979, sur les applaudissements du prophète, par la joie de son grand Père Serigne Babacar Sy et par le cachet de son père, s’impose comme le fruit naturel de la spiritualité, c'est ce qui a suscité la déclaration de son marabout « Moustaph, vous êtes le patron ». |
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Muchâhadah |
L’Acte Contemplatif) :C’est ce qui se rapporte à la faculté de voir toute chose à la lumière du Tawhîd (de la métaphysique). C’est aussi la faculté de voir Dieu en toute chose et enfin, c’est aussi, la certitude la plus profonde qui ne laisse place à aucun doute83.
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Muhâdathah | Al-Muhâdathah (L’Entretien Divin) :C’est le discours que Dieu adresse aux connaissants dans le monde d’ici-bas (‘alâm al-mulk wa ach-chahâdah), comme l’appel du Buisson ardent lancé à Moïse. | ||
Mujâhadah |
Al-mujâhadah ou l'effort en vue d'une meilleure conduite:
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Mukâchafah |
Al-Mukâchafah (L’Acte du Dévoilement Intuitif) :C’est la réalisation du dépôt divin par la contrainte, c’est aussi la réalisation du surcroît que procure l’état (de la réalisation effective en ce monde de la nature du dépôt). C’est enfin, la faculté de réellement comprendre les indications allusives.
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mukjizat | Miracles | ||
Lamine Coura Guèye | Amadou Lamine-Guèye ou Lamine Coura Gueye, né le 20 septembre 1891 à Médine, mort le 10 juin 1968 à Dakar, était un homme politique sénégalais, chef du Parti sénégalais d'action socialiste et Premier président de l'Assemblée nationale | ||
Léon Boissier-Palun | Léon Louis Boissier-Palun est un avocat, un homme politique et un diplomate sénégalais, qui fut l'un des fondateurs du Bloc démocratique sénégalais, aux côtés de Léopold Sédar Senghor et Mamadou Dia. | ||
Léopold Sedar Senghor | Léopold Sédar Senghor, né le 9 octobre 1906 à Joal, au Sénégal, et mort le 20 décembre 2001 à Verson, en France, est un homme d'Etat français puis sénégalais, poète, écrivain, et premier président de la République du Sénégal. Il fut aussi le premier Africain à siéger à l'Académie française | ||
les 7 secteurs que Dieu a délégués a l'homme |
L’homme fut le premier projet de Dieu, mais il fut créé en dernier. Par cet acte Le Seigneur veut que tous témoignent de son omniscience à travers ce favori C’est ainsi que devant toutes ses créatures Dieu dit : voici sept secteurs auxquels j’ai recommandé de déléguer leur pouvoir à l’homme : l’âme, Rouh |
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Les 3 voyageurs : Une Histoire racontée par le Prophète Mouhamed (PSL) | lien audio | ||
Kitab al-aghâni |
Le Kitâb al-Aghânî, ou Livre des Chansons (en arabe : كتاب الأغاني), est une anthologie de chansons, de poèmes et de akhbâr compilée par Abu l-Faraj al-Isfahânî au xe siècle. Lui-même affirme avoir mis cinquante ans à l'achever1. Si le Livre des Chansons s'inscrit dans la tradition anthologique de la littérature d' adab, il y occupe une place particulière à la fois par sa taille monumentale (l'édition de 2004 occupe 10 000 pages en 25 volumes) et par le succès durable qu'il a rencontré auprès des littérateurs de l'époque classique. |
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Karamat |
Dans l'islam sunnite, le karamat fait référence aux merveilles surnaturelles accomplies par les saints musulmans. Dans le vocabulaire technique des sciences religieuses islamiques, la forme singulière karama a un sens similaire au charisme, une faveur ou un don spirituel librement accordé par Dieu.
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Karim aga khan |
Le prince Karim Al-Hussaini dit Karim Aga Khan IV (en persan : كريم الحسين شاه), né le 13 décembre 1936 à Genève, est le chef spirituel des ismaéliens nizârites.Fils du prince Ali Khan, le prince Karim, alors âgé de 20 ans et étudiant à Harvard, succède à son grand-père, l'Aga Khan III, à la mort de celui-ci le 11 juillet 1957, à la tête de dix millions d'Ismaéliens, en tant que 49e imam de la communauté ismaélienne.
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Keur Madaro |
Keur Madaro, Thiès Localité à Thiès Sénégal devenue célèbre pour avoir abrités les différentes conférences animées par Serigne Cheikh Ahmed Tidiane SY dans les années 70 ,
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Keur dieumb |
Localité à Thiès Sénégal devenue célèbre pour avoir abrités les différentes conférences animées par Serigne Cheikh Ahmed Tidiane SY dans les années 70 , 80 et 90
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Khali Madiakhaté kala | Khali Madiakhaté kala est né en 1835, mort en 1902. Il est le fondateur du village de keur Makala, qui porte son nom, situé à quelques encablures de Thilmakha M’bacol, le cœur du Cayor, dans la région de Thiès au Sénégal. C’est un érudit téméraire, écrivain de premier plan, poète, maîtrisant parfaitement la grammaire arabe et le wolof, il fut juge dans la cour de Lat Dior N’goné Latir Diop, dernier Damel du Cayor, mort en 1886 à Dékheulé. Non moins directeur de conscience qui lui valut le peu de disciples par rapport à ses pairs. Mis en résidence surveillée plusieurs fois pour ses prises de position, il fut un combattant de la liberté. De Touba à Tivaoune, il est la colonne vertébrale et le pilier de ces deux confréries, quoiqu’on puisse dire. Pourtant, aujourd’hui, il demeure le parent pauvre de l’historiographie des Grandes figures. Un paradoxe qui ne dit pas son nom ! | ||
Date | Lieu | Objet | Thème | Lien |
17/01/1988 | Demba Diop Dakar | Conférence | Liberté de choisir | Lien Youtube |
28/04/1988 | Keur Dieumb | Conférence | ||
06/02/1988 | Thiès | Conférence | Religion et politique | Lien Youtube |
Date | Lieu | Objet | Thème | Lien | |
29/06/1987 | Keur Dieumb | Conférence | Conférence | Lien Youtube | |
12/07/1987 | Ibar Mar Diop | Conférence | AL Khahikha | lien sur youtube | |
24/10/1987 | CICES | Conférence | l'Islam et la politique (MRSA) | ||
Date | Lieu | Objet | Thème | Lien |
16/03/1986 | Guerew | Conférence | lien sur Youtube | |
13/04/1986 | Guédiawaye | Conférence | L'école nouvelle | lien sur youtube |
27/04/1986 | Keur Dieumb | Conférence | lien sur youtube | |
1986 | Kaolack | Conférence | lien sur youtube |
12/05/1985 | Keur Ndieumb | Conférence | Lien YouTube |
05/12/1984 | Tivaouane | Gamou | Commémoration de la naissance de Prophète PSL |
Nous savons que la référence scripturaire qui fait valoir le jihâd intérieur est la parole du prophète qui, rentrant d’une expédition militaire, déclara: «Nous voici revenus de la lutte mineure (jihâd asghar) pour nous livrer à la lutte majeure (jihâd akbar)». Un de ses compagnons lui demanda ce qu’il entendit par «lutte majeure», il répondit: «la guerre du coeur», ou «la lutte contre les passions ». D’autres traditions prophétiques attestent de la valeur spirituelle du
combat contre soi-même, et non pas contre l’autre. Ce combat “réflexif ” (qui vise le soi) et “introspectif ” (dont la direction se tend vers l’intérieur) revêt une grande valeur morale chez la plupart des soufis.