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Les 40 règles de Shams de Tabriz – Soufi mon Amour
Je viens de terminer la lecture du roman « Soufi Mon amour » de Elif Shafak qui raconte la rencontre entre le poète Rûmi et le soufi Shams de Tabriz, au XIII siècle en Iran.Ce dernier énonce 40 règles pleines de vérité et de sagesse que j’aimerais vous rapporter.

‘Abd al-Qâdir al-Jilani naquit en 1077 au nord de l’Iran actuel, dans la région du Jilan qui borde la mer Caspienne. Il était issu d’une famille descendante du Prophète Muhammad par l’intermédiaire à la fois de Hassan et de Hussein, les deux fils de ‘Ali et de Fâtima. Les légendes rapportent qu’il sortit du ventre de sa mère au cours d’une journée du mois de Ramadan et qu’il refusa de prendre le sein avant le coucher du soleil. Durant son enfance, plusieurs signes attestèrent que le jeune ‘Abd al-Qâdir était promis à une grande élévation spirituelle. Il était doté de visions spirituelles hors du commun qui lui firent prendre conscience qu’il n’était pas destiné à rester auprès de ses parents sur sa terre natale.

La philosophie de l’éducation d’al-Ghazali incarne le sommet de la pensée éducative islamique, marquée par une tendance prononcée à la conciliation et à la synthèse des différentes doctrines, notamment entre les pensées éducative, juridique, philosophique et mystique. Bien qu’al-Ghazali ne soit pas principalement considéré comme un « philosophe de l’éducation » (malgré son expérience d’enseignant dans sa jeunesse), il était avant tout un philosophe de la religion et de la morale. C’est après avoir élaboré son système philosophique et commencé à le mettre en pratique qu’il s’est intéressé à l’éducation et à l’enseignement, suivant en cela l’exemple des grands philosophes qui l’ont précédé.

Jusqu’à une période très récente, la pensée islamique incarnée par al-Ghazali dominait la théorie et la pratique de l’islam, en particulier dans le sunnisme. Ce penseur d’envergure, doté d’un savoir encyclopédique, a profondément influencé la pensée islamique et défini ses pratiques pendant près de neuf siècles. Il symbolisait ce que l’on pourrait appeler « l’islam pacifique ».

Le chapelet

mars 04, 2025
L’exercice de concentration du dhikr est traditionnellement pratiqué à l'aide d'un chapelet (tasbih) qui compte 99 ou 100 grains, soit autant que l'on compte de Noms Divins dans le Coran : 99 plus un si l'on ajoute à leur liste le Nom Allah, dit de Majesté. Chaque grain symbolise un être existant dans un univers, et les 100 grains symbolisent la totalité de tous les êtres possibles dans la totalité des univers possibles.

Parue en anglais en 1933, cette œuvre fut traduite pour la première fois en français en 1955 par Eva de Vitray-Meyerovitch avec une préface de Louis Massignon. Cette deuxième traduction, par Abdennour Bidar aux Éditions Gallimard, préfacée par Souleymane Bachir Diagne, est la bienvenue pour plusieurs raisons. Dans un panorama majoritairement dominé par l’analyse du radicalisme ou de l’islamophobie, le parcours philosophique et spirituel de celui que l’on surnomma « le Luther de l’islam » est une réelle opportunité.

Ceux qui ont rompu le jeûne du Ramadan pour cause de maladie, de voyage, de grossesse, d'allaitement ou d'accouchement ou de menstrues ou de lochies, devront jeûner plus tard le nombre de jours correspondants : c’est ce qu’on appelle, le rattrapage (al-qadâ).Allah (Gloire à Lui) -dans son infinie Miséricorde- a permis au malade, au voyageur (voyage permettant la réduction de la prière), à la femme enceinte ou celle qui allaite, la dérogation de rompre le jeûne et de le rattraper plus tard (pour lever la difficulté).

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