Kitab al-aghâni |
Le Kitâb al-Aghânî, ou Livre des Chansons (en arabe : كتاب الأغاني), est une anthologie de chansons, de poèmes et de akhbâr compilée par Abu l-Faraj al-Isfahânî au xe siècle. Lui-même affirme avoir mis cinquante ans à l'achever1. Si le Livre des Chansons s'inscrit dans la tradition anthologique de la littérature d' adab, il y occupe une place particulière à la fois par sa taille monumentale (l'édition de 2004 occupe 10 000 pages en 25 volumes) et par le succès durable qu'il a rencontré auprès des littérateurs de l'époque classique. |
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Karamat |
Dans l'islam sunnite, le karamat fait référence aux merveilles surnaturelles accomplies par les saints musulmans. Dans le vocabulaire technique des sciences religieuses islamiques, la forme singulière karama a un sens similaire au charisme, une faveur ou un don spirituel librement accordé par Dieu.
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Karim aga khan |
Le prince Karim Al-Hussaini dit Karim Aga Khan IV (en persan : كريم الحسين شاه), né le 13 décembre 1936 à Genève, est le chef spirituel des ismaéliens nizârites.Fils du prince Ali Khan, le prince Karim, alors âgé de 20 ans et étudiant à Harvard, succède à son grand-père, l'Aga Khan III, à la mort de celui-ci le 11 juillet 1957, à la tête de dix millions d'Ismaéliens, en tant que 49e imam de la communauté ismaélienne.
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Keur Madaro |
Keur Madaro, Thiès Localité à Thiès Sénégal devenue célèbre pour avoir abrités les différentes conférences animées par Serigne Cheikh Ahmed Tidiane SY dans les années 70 ,
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Keur dieumb |
Localité à Thiès Sénégal devenue célèbre pour avoir abrités les différentes conférences animées par Serigne Cheikh Ahmed Tidiane SY dans les années 70 , 80 et 90
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Khali Madiakhaté kala | Khali Madiakhaté kala est né en 1835, mort en 1902. Il est le fondateur du village de keur Makala, qui porte son nom, situé à quelques encablures de Thilmakha M’bacol, le cœur du Cayor, dans la région de Thiès au Sénégal. C’est un érudit téméraire, écrivain de premier plan, poète, maîtrisant parfaitement la grammaire arabe et le wolof, il fut juge dans la cour de Lat Dior N’goné Latir Diop, dernier Damel du Cayor, mort en 1886 à Dékheulé. Non moins directeur de conscience qui lui valut le peu de disciples par rapport à ses pairs. Mis en résidence surveillée plusieurs fois pour ses prises de position, il fut un combattant de la liberté. De Touba à Tivaoune, il est la colonne vertébrale et le pilier de ces deux confréries, quoiqu’on puisse dire. Pourtant, aujourd’hui, il demeure le parent pauvre de l’historiographie des Grandes figures. Un paradoxe qui ne dit pas son nom ! | ||